Going South Again by Car: 03.10.2019 Athènes/Athens

Jeudi 3 octobre 2019

Le vent a bien soufflé cette nuit et la température s’est rafraichie, seulement 22 ˚ ce matin. Un camping car part, mais avant de partir le monsieur sort des os congelés de son congélateur, les coupe à la hache et les donne aux chiens. Nous nous baignons deux fois avant de partir. Les voisins allemands partent avec leur bus, ce ne doit pas être facile de conduire ce grand truc dans les petites routes. Nous partons après un léger lunch. Nous rappellerons avec plaisir de cet endroit si agréable. La route passe par l’intérieur de l’ile d’Evia, montagneuse et boisée. Arrêt café (et achat de miel) sous de grands platanes qui perdent leur feuilles, cela sent l’automne, et descente vers la mer, au sud de l’ile, différent, sec et plus peuplé. La ville de Chalkida, où un pont relie l’ile au continent, n’est pas belle et en plus il souffle un fort vent qui fait voler la poussière partout. Nous passons le pont et peu après un violent orage éclate. Un des essuie-glaces se détache presque et Jens le fixe, juste avant le déluge. Nous roulons à 40 km/h, et nous sommes sur une autoroute. L’orage dure peut-être une demi-heure puis le soleil ressort. Arrivée à Athènes dans les embouteillages mais sans encombres, le GPS trouve bien l’adresse de Raymonde, notre amie française. Catherine est arrivée avant l’orage, heureusement. Nous nous retrouvons tous avec plaisir, buvons un coup et allons diner à un restaurant crétois à 20-25 mn de marche de chez Raymonde. Bon diner, mais quand nous repartons, Raymonde et Catherine qui marchent devant nous « perdent ». Nous nous retrouvons, Jens et moi, sans savoir où aller. Mais, par chance, j’ai l’adresse de Raymonde dans mon téléphone et Jens a un GPS dans le sien. Mais, le GPS nous emmène à une autre rue, qui a le même nom, mais est bien plus loin. Nous marchons, nous marchons et à la fin prenons un taxi. Le chauffeur ne parle pas anglais et veut nous emmener au centre d’Athènes, et nous savons que ce n’est pas la bonne direction. Nous demandons donc qu’il nous emmène à la station de métro près de chez Raymonde. Et, surprise, c’est à 300 m, nous marchions dans la bonne direction ! Il nous fait payer 3 € ce qui est raisonnable, pour cette petite course. Nous téléphonons, et Raymonde et Catherine viennent nous chercher à pied, c’est à 10 mn. Il est maintenant minuit et nous allons tous nous coucher rapidement.

Thursday, October 3, 2019

The wind blew all night and the temperature cooled, only 22 ˚ this morning. A camper leaves, but before leaving the guy leaves frozen bones, cuts them with an ax and gives them to the dogs. We bathe twice before leaving. The German neighbors leave with their bus; it must not be easy to drive this big thing on the small roads. We leave after a light lunch. We will remember this place with pleasure. The road passes through the interior of Evia island, mountainous and wooded. Stop for coffee (and purchase of honey) under large plane trees that are losing their leaves, it’s autumn now, and we go down to the sea, south of the island, which is different, dry and more populated. The city of Chalkida, where a bridge connects the island to the mainland, is not beautiful and in addition it blows a strong wind that blows dust everywhere. We cross the bridge and soon after a violent storm bursts. One of the windshield wipers comes off almost and Jens fixes it just before the downpour. We drive at 40 km / h, and we are on a highway. The storm lasts perhaps half an hour then the sun comes out. We arrive in Athens with traffic jams but without trouble, the GPS finds Raymonde’s adress, our French friend. Catherine arrived before the storm, fortunately. We all meet with pleasure, have a drink and go to dinner at a Cretan restaurant, 20-25 minutes walk from Raymonde. Good dinner, but when we leave, Raymonde and Catherine who walk in front "lose" us. We find ourselves, Jens and I, without knowing where to go. But, by chance, I have Raymonde's address in my phone and Jens has a GPS in his. But, the GPS takes us to another street, with the same name, but is much further away. We walk, walk and at the end take a taxi. The driver doesn’t speak English and wants to take us to the center of Athens, and we know that this is not the right direction. We ask that he take us to the metro station near Raymonde’s place. And, surprise, it's only at 300 m, we were walking in the right direction! It makes us pay € 3, which is reasonable for this small ride. We call, and Raymonde and windshield Catherine pick us up, walking, it's only 10 minutes. It is now midnight and everybody goes to bed.